vendredi 24 septembre 2010

Qui suis-je ?

[source, wikipédia]

Je suis un esprit libre à tendances existentialistes, matérialistes, sceptiques, empiristes, stirneriennes...

L’existentialisme est un courant philosophique et littéraire qui postule que l'être humain forme l'essence de sa vie par ses propres actions, en opposition à la thèse que ces dernières lui sont prédéterminées par quelconques doctrines théologiques, philosophiques ou morales. L'existentialisme considère donc chaque personne comme un être unique qui est maître non seulement de ses actes et de son destin, mais également - pour le meilleur comme pour le pire - des valeurs qu'il décide d'adopter.

Le matérialisme considère que la matière construit toute réalité et s'oppose au spiritualisme pour lequel l'esprit domine la matière. D'une façon générale, le matérialisme rejette l'existence de l'âme, de l'esprit, de la vie éternelle, ou de Dieu. Il considère que la conscience, la pensée et les émotions sont les conséquences de mécanismes matériels. Pour le matérialisme, la mort du corps matériel entraine la disparition de la conscience et de la sensation d'exister. Le matérialisme considère que le monde résulte de mécanismes matériels, sans but et sans signification et que l'esprit est une illusion.

Le scepticisme (du grec skeptikos, « qui examine ») est, au sens strict, une doctrine selon laquelle la pensée humaine ne peut se déterminer sur la possibilité de la découverte d'une vérité. Il ne s'agit pas de rejeter la recherche, mais au contraire de ne jamais l'interrompre en prétendant être parvenu à une vérité absolue. Son principal objectif n'est pas de nous faire éviter l'erreur, mais de nous faire parvenir à la quiétude (ataraxia), loin des conflits de dogmes et de la douleur que l'on peut ressentir lorsqu'on découvre de l'incohérence dans ses certitudes.

L'empirisme considère que la connaissance se fonde sur l'accumulation d'observations et de faits mesurables, dont on peut extraire des lois générales par un raisonnement inductif, allant par conséquent du concret à l'abstrait, ce qui fait de l'expérience sensible l'origine de toute connaissance valide et de tout plaisir esthétique.

Stirner, philosophe allemand, sa philosophie est un réquisitoire contre toutes les puissances supérieures auxquelles on aliène son « Moi », et Stirner vise principalement l'Esprit hégelien, l'Homme feuerbachien et la Révolution socialiste. Stirner exhorte chacun à s'approprier ce qui est en son pouvoir, indépendamment des diverses forces d'oppression extérieures au Moi.

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